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Tanguy Pastureau voulait juste s'amuser en faisant de la radio. Et le voilà sur RTL.
“On pensait que Thierry Lepaon allait être le seul à tomber à cause de travaux de rénovation, parce que c’est la fin de carrière la plus con du monde, à égalité avec se faire écraser par une antenne-relais quand on bosse chez Orange.” Pouffements et éclats de rire dans le studio de RTL. Bernard Poirette relance en essayant de contenir ses trémolos… “Eh bien pas du tout, continue l’humoriste. Nouvelle polémique, concernant cette fois le boss de Radio France, Mathieu Gallet, qui porte le nom de ce qui rentre dans nos fesses quand on s’assied l’été sur la plage de Nice…” Le ton est donné. C’est la Pastureau touch.
Le vendredi soir, le samedi et le dimanche matin, notre homme, qui ne respecte rien, vient donner à l’antenne son débrief de l’actualité. Une revue de presse sous acide, qui ne recule devant aucune provocation. D’ailleurs, il faut le savoir, il doit son arrivée chez RTL à une magnifique saillie contre la radio de la rue Bayard, à l’époque où il officiait sur France Bleu Île-de-France. Un jour de grève des douanes, il lâche que “ça sniffe plus dans les couloirs de RTL que dans ceux de Radio France”. Jacques Esnous, directeur de la station, tombe sous le charme, et… le recrute sur le champ.
Le vendredi soir, le samedi et le dimanche matin, notre homme, qui ne respecte rien, vient donner à l’antenne son débrief de l’actualité. Une revue de presse sous acide, qui ne recule devant aucune provocation. D’ailleurs, il faut le savoir, il doit son arrivée chez RTL à une magnifique saillie contre la radio de la rue Bayard, à l’époque où il officiait sur France Bleu Île-de-France. Un jour de grève des douanes, il lâche que “ça sniffe plus dans les couloirs de RTL que dans ceux de Radio France”. Jacques Esnous, directeur de la station, tombe sous le charme, et… le recrute sur le champ.
